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(flashback/delilah&louenn) to be or not to be, that's the question.
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Azraël Cunnigan
Azraël Cunnigan
Date d'inscription : 28/11/2015

Messages : 113

Avatar : grant gustin

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Age : vingt-sept ans, ouai déjà mais dans sa tête il est un peu resté gamin. Il aime bien faire des blagues pas drôles.

Statut : célibataire. Il a morflé au lycée et depuis il s'est rarement ouvert à qui que ce soit au niveau amoureux.

Profession : professeur de littérature à l'université. Il a obtenu son agrégation l'année passée. Sheakeare c'est son dada. Le kiff total.

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This is my heartbeat song and I'm gonna play it


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Mar 8 Déc - 20:33

to be or not to be, that's the question.
feat azraël&delilah
Le temps des examens était arrivé. Fini de dormir tranquillement dans son lit le matin, il fallait aller réviser pour être sûr d'obtenir l'année. C'était ma deuxième année en littérature et je sentais que le travail était en train d'augmenter. Pourtant, j'étais toujours aussi passionné, je m'en moquais totalement de devoir rester la tête dans mes livres du moment que je faisais ce qui me plaisait. Je m'étais levé de bonne heure et de bonne humeur. Je m'étais préparé un café assez fort pour ne pas dormir sur mon livre à la bibliothèque universitaire. Je comptais y aller seul, mais hier Delilah m'avait appelé me suppliant de l'aider pour ses examens de philosophie et en particulier sur le cours de mon père. Mon père. Professeur de philosophie et philosophie réputé à l'international qui parlait par énigme que je n'avais jamais comprises. Je me demandais comment était ses cours mais je préférais ne pas le savoir j'étais bien trop heureux avec Shakespeare. J'étais tranquillement en train de boire ma tasse de café en regardant à l'extérieur. La neige tombait. C'était un hiver glacial. Je frissonnais à l'idée de mettre mon nez dehors mais tant pis. Je mangeais mes pancakes tranquillement avant de regarder l'heure et de comprendre qu'il fallait que je me mette en route. Je pris mon manteau et un bonnet ainsi qu'une écharpe pour ne pas attraper froid. Il manquerait plus que d'être cloîtré au lit alors que l'on devait réviser. Mon sac en bandoulière sur l'épaule je quittais mon appartement bien chaud pour prendre la direction de l'université. Heureusement pour moi je n'avais pas longtemps en bus. Au vue du verglas et de la couche de neige il était hors de question de s'aventurer sur les trottoirs, bien trop dangereuse. Il m'avait fallu une quinzaine de minutes pour arriver. Il n'y avait pas foule. A l'heure de Noël tout le monde restait chez eux pour réviser sous une couette ou alors pour dormir et hiberner. C'était calme et agréable. Je pris la direction de la bibliothèque universitaire et je vis que Delilah était déjà arrivée. Elle n'avait pas l'air forcément motivé. D'un côté je pouvais la comprendre, les paroles de mon père prenaient tellement la tête alors je ne m'imaginais pas un cours entier. J'étais allé les voir le week-end dernier et il m'avait pris la tête sur la philosophie du moi, surmoi etc... j'étais de sorti de table avec un énorme mal de tête. Je m'approchais d'elle à grands pas avant d'ouvrir la bouche : «  Qui masque ses fautes se voit, en fin de compte, démasquer par sa conscience. »  Une citation de Shakespeare comme c'était étonnant. Faut dire, que j'avais lu une pièce jusqu'à tard dans la nuit et que j'étais toujours autant ébloui par cette écriture. Je vis le regard de Delilah. « Quoi ? Tu étudies bien la philosophie, c'est deux fois plus prise de tête ! » Je mis correctement mes lunettes sur mon nez, elles glissaient tout le temps. Je me mis à monter les marches de la bibliothèque. « Bon tu viens ? Parce que ça gèle ! »
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Delilah Aberdeen

ONCE UPON A TIME
LES RPS : Harry/Rory/Brook/Azraël+Louenn/La parade
LES AMIS POUR LA VIE:
Delilah Aberdeen
Date d'inscription : 23/11/2015

Messages : 309

Avatar : Caitlin Stasey

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Age : Vingt-sept ans

Statut : Le statut "c'est compliqué" ne c'est jamais aussi bien appliqué à elle et à sa relation en dent de scie avec un certain animateur 3D.

Profession : Directrice artistique dans un magazine/Graphiste

“My advice if you’ve just suffered heartbreak or you’ve broken up with someone, is to not touch your hair. It’s the first thing women do, but you’re not in a fit state to make decisions that are long-term — you’ll have to spend the next four years growing it out. Don’t have a fringe cut. Don’t bleach it. Don’t do anything, because you will regret it. Buy a lipstick instead. Go and kiss loads of other people, but don’t fucking touch your hair, as you’ll still feel sad — and you’ll have weird hair.”

NOT EVERYTHING HAPPENS FOR A REASON. SOMETIMES LIFE JUST SUCKS


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Dim 13 Déc - 2:59



To be or not to be, that’s the question



Elle piétinait furieusement la neige, tanguant d’une jambe sur l’autre, espérant que le mouvement la réchaufferait. Les joues rosies par le froid, Delilah aurait préféré être ailleurs, la bibliothèque ne lui ayant jamais inspiré quoi que ce soit de bon. Lorsqu’elle y allait, c’était seulement pour emprunter un bouquin. Et s’il n’avait pas s’agit du lieu de prédilection d’Azraël, jamais n’y aurait-elle mis les pieds par une matinée aussi froide.
Elle n’était pas une grande bucheuse : travaillant de manière régulière certes, mais non de façon excessive. Si ses notes n’étaient pas exceptionnelles,  elles ne remettaient pas en cause ses capacités universitaires. Ca n’avait jamais été le cas avant cette année du moins. La brune se décrivant elle-même comme « une saleté de merdeuse qui obtenait des notes correctes en fournissant le minimum d’effort», elle avait toujours fait partie de ces inepties de la nature, qui arrivaient aux devoirs totalement détendue quand tout le monde stressait, et s’en tirait le nom affiché dans les premières lignes des classements. Du plus loin dont elle se souvenait, Lyla avait toujours été une glandeuse. Une glandeuse certes, mais une glandeuse sacrément chanceuse. De ce fait, son entrée dans une grande université, n’avait surpris personne et même, semblait faire partie de la suite logique des choses.
Au bout d’un mois passé à étudier les fluctuations du marché et les lois qui régissaient le commerce européen, elle avait fui Cambridge. Non par inaptitude, mais simplement parce que l’idée de passer les prochaines années de sa vie avec pour seul but l’obtention d’un diplôme en économie lui faisait profondément horreur. Et un peu parce qu’elle avait la flemme. Après l’échec Cambridge, elle était revenue sur Londres, et avait intégré la fac de philosophie, persuadée d’en avoir les capacités et surtout, espérant y trouver un sens à la vie. Après quelques années de réflexions sur  la vacuité de l’existence, des essais dont elle ne voyait en vérité ni la queue ni la tête mais qui, de peu, réussissaient à convaincre ses professeurs de son intelligence toute relative, elle avait surtout fini par rencontrer l’homme qui lui avait ouvert les yeux sur l’imposture qu’était sa vie étudiante. Au moment même où le professeur Cunnigan, avec son cours sur la métacritique du doute méthodique, avait ouvert la bouche pour la première fois, Delilah avait compris qu’elle allait rater son année; et ce ne serait pas quelques concepts lus à la vas-vite et du pipo savamment argumenté qui allait la sauver.  

«  Qui masque ses fautes se voit, en fin de compte, démasquer par sa conscience». Delilah ne se gêna même pas pour regarder le jeune-homme d’un air franchement blasé. Elle qui habituellement, supportait avec humour les répliques de son ami, semblait à deux doigt de l’étrangler. Elle ne voulait plus entendre parler de conscience, de métaphysique, ni même de Cogito ergo sum. Elle allait pourtant en bouffer plus que de raisons durant les quelques heures qui allaient suivre ; La veille au soir, elle avait appelé Azraël dans un état de panique intense et lui avait promis tout ce qu’il souhaitait si il essayait juste, de l’aider à déchiffrer les notes du dernier cours de son père. Et vu la tâche qui les attendait, elle espérait vraiment qu’un simple panier de muffin lui suffirait. « Quoi ? Tu étudies bien la philosophie, c'est deux fois plus prise de tête ! » «Non mais c’est même plus prise de tête à ce stade-là. Là où j’aurais simplement du laisser passer la chose, je suis actuellement en train d’essayer de déconstruire le sens critique de ta phrase en me basant sur les axiomes de l’épistémologie des sciences modernes. Oh mon dieu…je ne suis même pas sûre que ce que je viens de dire ait le moindre sens. Tu as vu ce que cette fac est en train de faire de moi ? Pitié achèves-moi pendant qu’il est encore temps.» Lâcha-t-elle dans un semblant d’humour tandis qu’ils montaient les marches de la bibliothèque, avant de s’immobiliser :
« Bon tu viens ? Parce que ça gèle ! » «On attend pas Lou’ ? Elle a dit qu’elle avait des trucs à bosser ! »    
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